12/06/2020

Consécration absolue, par Andrew Murray

Dans le premier livre des rois, nous lisons, au début du chapitre 20 : «Ben-Hadad, roi de Syrie, rassembla toute son armée; il avait avec lui trente-deux rois, des chevaux et des chars. Il monta, mit le siège devant Samarie, et l’attaqua. Il envoya dans la ville des messagers à Achab, roi d’Israël, et lui fit dire: Ainsi parle Ben-Hadad: Ton argent et ton or sont à moi, tes femmes et tes plus beaux enfants sont à moi. Le roi d’Israël répondit: « O Roi, mon Seigneur, je suis à toi, comme tu le dis, moi et tout ce qui m’appartient.»


Ce que Ben-Hadad demandait, c’était une capitulation sans conditions, et Achab se soumit entièrement aux exigences du roi de Syrie, auquel il répondit : « O Roi, mon Seigneur, je suis à toi, comme tu le dis, moi et tout ce qui m’appartient.» Ces paroles, je voudrais que chaque enfant de Dieu se les approprie et les adresse personnellement à son Père, comme il se doit: « O Roi, mon Seigneur, je suis à toi, comme tu le dis, moi et tout ce qui m’appartient.» Ces paroles, nous les avons déjà entendues ou prononcées précédemment, mais si nous voulons être bénis par Dieu, nous devons réellement nous abandonner totalement entre ses mains. Dieu soit loué ! Si notre cœur est dans de telles dispositions, ce que Dieu peut faire pour nous est illimité et sa bénédiction est assurée.

29/04/2020

Gardez les yeux fixés sur Jésus


Message sur la lettre aux Hébreux, 12, 1-2, délivré le 5 septembre 2017 par Jim Cymbala

« Nous donc aussi, puisque nous sommes environnés d’une si grande nuée de témoins, rejetant tout fardeau, et le péché qui nous enveloppe si aisément, poursuivons constamment la course qui nous est proposée… »
Ce passage de la lettre aux Hébreux mentionne deux choses en particulier :
Nous sommes engagés dans une course et nous devons terminer cette course. La course, c’est continuer à croire, à servir et à faire confiance en Jésus jusqu’au bout. Celui qui est endurant jusqu’à la fin sera sauvé. Mais attention, pour courir, il est impossible de le faire avec des charges. Aux jeux olympiques, personne ne fait la course en se chargeant d’un fardeau ou d’une valise. Au contraire, on se déleste au maximum pour être le plus léger possible et pour faciliter la course. Ces fardeaux que nous transportons avec nous sont donc des entraves. Et ces fardeaux s’entremêlent souvent avec les péchés, qui eux, nous lient. Il y a donc, d’une part, les fardeaux qui empêchent d’avancer, et, d’autre part, les péchés qui font que nous sommes empêtrés.